ça déménage.

L’atelier déménage vous pouvez maintenant retrouver le site à l’adresse : http://blog.passeurs-de-savoirs.fr/

Si vous suivez le site via son flux rss, sa page Facebook ou à travers mon compte Twitter le déménagement devait être transparent pour vous et vous devriez continuer a recevoir de nos nouvelles.

 

Si par contre vous avez fait un bookmark pour retrouvez la page d’accueil, je vous invite à le mettre à jour.

 

Oui, mais pourquoi déménager ?

 

En voilà une question qu’elle est bonne l’atelier est né il y a deux ans après une conversation avec Nathalie, qui m’avait fait remarquer que quand je publiait un article sur mon quotidien de chef de projets web, sur mon site perso, ça faisait très un peu peur a mes amis lecteurs non techniciens.

Cette judicieuse remarque m’avait incité à créer un blog «Geek» et comme à l’époque j’étais très curieux de mieux comprendre blogspot, j’avais décidé d’utiliser cette plateforme pour publier.

Quelques mois plus tard, je lançait l’agence  web passeurs de savoirs, et peu a peu, les expériences que j’ai eu dans la création d’outils et de sites pour mes  clients ont été  l’une des sources d’inspiration pour les articles de ce blog.

C’est pourquoi il y a quelques jours, je me suis dit qu’il était pas incohérent de rapatrier le blog sur le même nom de domaine que l’agence, et que ce serait l’occasion de faire un petit billet ici sur la migration de blogspot à WordPress.

 

Soyez donc les Bienvenus sur ce «nouveau blog», vous, mettez vous donc à l’aise

 

 

ça déménage.
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4 commentaires sur “ça déménage.

  • 30 avril 2012 à 17 h 11 min
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    tu as un lien juste au dessus et un dans les meta du site 😉

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  • 29 juin 2012 à 23 h 26 min
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    je ne crois pas qu’il faut voir cela cela comme une lutte entre ab les premiers bb (e9diteurs et lariibres) contre ab les seconds bb (les auteurs et les lecteurs). Le de9veloppement du Web a pour effet de multiplier les modes de diffusion/distribution des oeuvres. Il rend possible un contact direct des auteurs avec les lecteurs, c’est vrai. On l’a vu aussi dans la musique et dans la vide9o. Il n’a jamais e9te9 aussi facile pour un auteur de ab produirea0bb une oeuvre de fae7on autonome et de la faire connaeetre sur le Web —a0d’entrer en contact avec son public. Je m’en re9jouis et je pense que c’est un grand progre8s.Le me9tier d’e9diteur et celui de libraire n’en perdent toutefois pas leur sens: il faut parfois de l’accompagnement pour un auteur, il faut quelques fois conseiller les lecteurs. Et ce que je de9fends dans ce texte, c’est un mode8le e9conomique qui permet e0 ces acteurs le0 de prendre part e0 l’e9cosyste8me. Je ne suis pas force9ment inquiet pour les tre8s gros acteurs, mais pour les autres, c’est un ve9ritable enjeu.Que les auteurs qui peuvent se passer d’un e9diteur et des lariibres puissent ab faire sans bb, c’est tre8s bien. Je m’en re9jouis. Mais je pense que ce soit le cas de la majorite9.Il faut bien sfbr travailler avec les auteurs, les e9diteurs, les lariibres —a0et les lecteurs — dans un nouveau dialogue of9 les frontie8res des rf4les de chacun seront appele9s e0 changer, mais je dois dire que je ne crois pas tellement aux de9marches qui pre9tendent ab faire fi des mode8les passe9s bb.Sans eatre prisonnier de ces mode8les, sans vouloir les reproduire, il faut tout de meame reconnaeetre qu’ils rendent compte de certaines re9alite9s du aba0monde du livrea0bb qui n’ont pas perdu toute leur pertinence simplement parce qu’on passe de l’encre au pixels.

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  • 1 juillet 2012 à 7 h 06 min
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    Cle9ment,Effectivement, mes expressions cotrne et faire fi sont peut-eatre trop fortes. En disant cela, j’appelle davantage e0 cre9er de nouveau mode8le que de faire e9voluer les anciens.Ainsi je trouve particulie8rement inte9ressante l’ide9e de l’e9diteur accompagnateur de l’auteur. Mais e9videmment le mode8le e9conomique a trouver n’est pas simple. Si cet accompagnement existe dans le mode8le traditionnel, c’est parce qu’il est base9 sur un objet mate9riel : le livre qui impose des re8gles. Surtout que ce ne sont pas d’abord les auteurs qui vivent de leurs e9crits (au vu des contrats d’auteur de 7 e0 15% par exemple, c’est difficile). Du coup avec le nume9rique cela devient encore plus difficile de penser la re9mune9ration du travail .On peut aussi avoir l’e9diteur accompagnateur du lecteur, en l’aidant e0 identifier les productions d’auteur.Ce qui est en cours de disparition, c’est l’e9diteur diffuseur dont la finalite9 est davantage le fonctionnement de l’entreprise e9dition/diffusion. Se9parer les deux est e9videmment risque9 si le mode8le de re9mune9ration de l’action e9criture, e9dition, lecteur n’est pas rede9finie.

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